TRâce de Sandra Rabrun | SaRâ
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Qu'y a-t-il dans le livre
TRâce : Pour se souvenir que la vie est plurielle.
TRâce est un recueil d’une cinquantaine de poèmes en prose écrite en deux langues français (Trace) et créole (DOUVANPADO) qui décrit les empreintes d’émotions les plus crues que la vie nous laisse en héritage.
Femme, maman, complice des mots et farouche amoureuse de la vie, Sandra Rabrun (SaRâ) l’auteure de TRâce dit travailler en droit des rêves et des miracles en fondant en 2017 Passerelle à Montréal, cette belle métropole rythmée qui l’a accueillie depuis 2013. Portant Ayiti dans son cœur et Dessalines sous sa peau, elle fait la promotion de l’art et la culture Haïtienne à Montréal.
Détentrice d’une maîtrise en Administration Publique – développement des organisations et des ressources et membre de l’Ordre des administrateurs agréés du Québec, elle contribue au Sommet Jeunes Afro à la construction des solutions fae aux enjeux des jeunes des communautés noires du Québec.
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À propos de l' auteure
L’auteure mise sur Passerelle, le pont qui lie Haïti et ses artistes.
L’ancienne présentatrice de la Télévision nationale d’Haïti (TNH) et de Matin Caraïbes sur Radio Caraïbes porte des habits teintés de couleur haïtienne. Ses bijoux et ses sacs à mains fabriqués par des artisans haïtiens attirent la curiosité et l’admiration des étrangers. Alors, pourquoi ne pas exploiter cette richesse de façon optimale ? s’interroge Sandra. Ainsi, lance-t-elle Passerelle qui se veut donc une réponse à cette question. Elle fait la promotion de l’art et la culture haïtienne à travers des conférences-débats, des foires et expositions, des spectacles, des campagnes de sensibilisation, des ateliers de formation et de perfectionnement pour et par des artistes.
Le premier spectacle « Sous ma peau » qui s’est tenu le 27 octobre 2017 au Centre Leonardo da Vinci à Montréal a mis en vedette le guitariste, auteur et compositeur Dener Céide, l’un des plus talentueux musiciens de son âge, et de nombreux autres artistes parmi lesquels SaRâ, Paul Henry Athis, Jean-Claude Martineau alias Koralen, Nadia Faubert et Jerrie Longchamps.
Carrefour de valorisation de la créativité et organisme à vocation culturelle et socioéducative, Passerelle se veut un espace de rencontres pour les artistes d’horizons divers « C’est de nos différences que naissent nos meilleures curiosités. C’est aussi à cette intersection que l’on se rend compte de l’unicité de l’autre et de nous-mêmes. À Passerelle, nous nous servons de cela pour faciliter la production et reconnaître les valeurs de chacun en vue de permettre à chaque communauté et à chaque talent d’être un prétexte de rassemblement pour mieux exprimer la diversité et la richesse culturelle qui s’y découle», affirme Sandra Rabrun.
À travers ses activités, Passerelle espère contribuer au rehaussement de l’éclat de la richesse culturelle haïtienne à Montréal. Passerelle veut s’ériger en un véritable pont qui servira de tremplin à la création, à la production et aux échanges interculturels. Elle misera sur la diversité de la richesse culturelle entre les artistes d’Haïti, du Canada, des États-Unis, du Mexique et des pays de la Caraïbe en vue de mettre leur talent et leur créativité au profit de l’économie dans ce secteur porteur.
L’équipe de Passerelle est composée essentiellement de professionnels de la culture, du management, du droit de la propriété intellectuelle, du patrimoine matériel et immatériel et de l’équité de genre. On peut citer les noms de Claude Gilles et d’Adolphe Janvier, Kervens Prévaris… des figures connues de la presse haïtienne.
Sandra Rabrun: De l’art et de la générosité dans le sang
Ayant grandi avec la musique dans le sang, elle se réfugie assez jeune dans l’art, l’écriture et la poésie pour apaiser le poids des difficultés de la vie. De sa première lecture à la radio à l’émission Canal musical de Marc Bregard Anderson à Radio Caraïbes. « Le micro et moi sommes tombés en amour », avoue celle qui a suivi des cours au Petit Conservatoire de Daniel Marcelin.
Sandra Rabrun indique que les bénéfices générés iront renforcer la prise en charge en Haïti et au Québec des femmes ayant subi des violences sexuelles, Elle part de l’évidence selon laquelle l’art est un moyen sûr permettant de transcender les différences culturelles et de servir les autres.
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